Frêle esquif sous les 40e rugissants , tourmenté au large des caps et bercé par les houles,
Sheezahee trace la mer solo en chantant pour la gloire de l’écume, des oiseaux ébouriffés
se marrent en échangeant leur plumes au zénith des vagues sombres.
On croît rêver . On rêve . On croit s’éveiller . On s’éveille .
La mer est là , pleine , noire , grand cœur de la foule dans le sombre des salles .
Sous le ciel électrique on dérive dans la nuit…
Pour découvrir : https://sheezahee.bandcamp.com/