Nous, humains de cette civilisation mondialisée de la modernité tardive, connaissons de façon claire et précise les ravages sur la nature qu’engendre notre manière de vivre.
Nous savons et pourtant nous continuons. Nous continuons de nous comporter de manière ravageuse pour la biosphère.
Nous nous regardons avec impuissance saper toujours plus avant les fondements sur lesquels repose la vitalité de la biosphère.
Quelle valeur accordons-nous à notre environnement naturel ? Qu’attendons-nous de notre interaction avec lui ? Pourquoi ne n’allons-nous pas là où la raison nous demande d’aller ? Quel est le sens de ce processus tragique d’épuisement de la nature par les activités humaines ?
Ce débat viendra à la suite du visionnage, à partir de 19 h, du film « Et ils passèrent des menottes aux fleurs… » de Jean-Claude Decourt (janvier 2018), lequel sera présent.
